PAROLE DE L'ENVOYE D'ALLAH ALEYHI ASSALET WAASSALEM
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PAROLE DE L'ENVOYE D'ALLAH ALEYHI ASSALET WAASSALEM
LES ACTIONS NE VALENT QUE PAR LEURS ATTENTIONS
Le Commandeur des Croyants, Aboû Hafs Omar ben El-Kattâb a dit: J`ai entendu l'Envoyé de Dieu dire:
« Les actions ne valent que par leurs intentions. Chacun ne recevra la récompense qu'il mérite que selon ce qu'il a entendu faire. A celui qui a accompli l'hégire pour plaire à Allâh et à Son Envoyé, son hégire lui sera comptée, comme accomplie en vue de Dieu et de Son Envoyé. Celui qui l'a accomplie pour obtenir quelque bien en ce bas monde, ou pour épouser une femme, son hégire lui sera comptée selon ce qu'il recherchait alors ».
[Rapporté par Boukhari et Mouslim]
عَنْ عُمَرَ بْنِ الْخَطَّابِ رضي الله عنه قَالَ : سَمِعْتُ رَسُولَ اللَّهِ صلى الله عليه و سلم يَقُولُ : (( إنَّمَا الأَعْمَالُ بِالنِّيَّاتِ - وَفِي رِوَايَةٍ : بِالنِّيَّةِ - وَإِنَّمَا لِكُلِّ امْرِئٍ مَا نَوَى , فَمَنْ كَانَتْ هِجْرَتُهُ إلَى اللَّهِ وَرَسُولِهِ , فَهِجْرَتُهُ إلَى اللَّهِ وَرَسُولِهِ , وَمَنْ كَانَتْ هِجْرَتُهُ إلَى دُنْيَا يُصِيبُهَا أَوْ امْرَأَةٍ يَتَزَوَّجُهَا , فَهِجْرَتُهُ إلَى مَا هَاجَرَ إلَيْهِ ))
رواه البخاري و مسلم
wanalkaalahiba- Allah Akbar
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l'ISLAM. LA FOI. L'EXCELLENCE
Omar a dit encore :
Un jour, nous étions assis en conférence chez l'Envoyé d e Dieu, et voici que se présenta à nous un homme vêtu d'habits d'une blancheur resplendissante, et aux cheveux très noirs. On ne pouvait distinguer sur lui une trace de voyage, alors que personne d'entre nous ne le connaissait. Il prit alors place, en face du prophète à lui, bénédiction et salut. Il plaça ses genoux contre les siens, et posa les paumes de ses mains sur les cuisses de celui-ci, et lui dit :
- « O Mohammed, fais-moi connaître l'Islâm ». L'Envoyé de Dieu, dit alors :
- « L'Islâm consiste en ce que tu témoigne qu'il n'y a nulle divinité digne d'être adorée exepté Allah et que Mohammed est Son Envoyé, accomplir la priére rituelle, verser la zakât (impôt rituel) et accomplir le jeûne de Ramadhân, ainsi que le pèlerinage à la Maison d'Allâh si les conditions de voyage rendent la chose possible ».
Son interlocuteur lui répondit : - « Tu as dit vrai », et nous de nous étonner, tant de sa question que de son approbation, puis, il reprit - « Fais-moi connaître la Foi ». Le Prophète répliqua :
- « La foi consiste en ce que tu dois croire à Allâh, à Ses Anges, à Ses Livres. a Son Prophète, au Jugement Dernier. Tu dois croire encore à la prédestination touchant le bien et le mal ».
L'homme lui dit encore: - « Tu as dit vrai » et il reprit : - « Fais-moi connaître la vertu », et le Prophète lui répondit :
- « La vertu consiste à adorer Dieu, comme si tu Le voyais, car si tu ne Le vois pas, certes, Lui te voit ».
L'homme lui dit encore : - « Fais-moi connaître l'Heure - du Jugement Dernier - », et le Prophéte lui répondit :
- « Sur l'heure du jugement, l'interrogé n'est pas plus savant que celui qui le questionne ».
Là-dessus, l`homme lui dit: - « Mais fais m'en connaître les signes précurseurs », et le Prophéte lui répondit:
- « Ce sera lorsque la servante engendrera sa maîtresse, lorsque tu verras les va-nu-pieds, ceux qui vont nus, les miséreux, les pâtres se faire élever des constructions de plus en plus hautes ».
Là-dessus, l'homme partit. Je demeurai là longtemps, puis le Prophéte dit :
- « Ô Omar, sais-tu qui m'a interrogé ? ».
- « Non », répondis-je ! - « Allâh et son Envoyé, en cette matiére, sont plus savants ».
« Cet homme-là était l'Archange Gabriel. Il vient de la sorte à vous pour vous enseigner votre religion ».
[ Rapporté par Mouslim ]
عن
Un jour, nous étions assis en conférence chez l'Envoyé d e Dieu, et voici que se présenta à nous un homme vêtu d'habits d'une blancheur resplendissante, et aux cheveux très noirs. On ne pouvait distinguer sur lui une trace de voyage, alors que personne d'entre nous ne le connaissait. Il prit alors place, en face du prophète à lui, bénédiction et salut. Il plaça ses genoux contre les siens, et posa les paumes de ses mains sur les cuisses de celui-ci, et lui dit :
- « O Mohammed, fais-moi connaître l'Islâm ». L'Envoyé de Dieu, dit alors :
- « L'Islâm consiste en ce que tu témoigne qu'il n'y a nulle divinité digne d'être adorée exepté Allah et que Mohammed est Son Envoyé, accomplir la priére rituelle, verser la zakât (impôt rituel) et accomplir le jeûne de Ramadhân, ainsi que le pèlerinage à la Maison d'Allâh si les conditions de voyage rendent la chose possible ».
Son interlocuteur lui répondit : - « Tu as dit vrai », et nous de nous étonner, tant de sa question que de son approbation, puis, il reprit - « Fais-moi connaître la Foi ». Le Prophète répliqua :
- « La foi consiste en ce que tu dois croire à Allâh, à Ses Anges, à Ses Livres. a Son Prophète, au Jugement Dernier. Tu dois croire encore à la prédestination touchant le bien et le mal ».
L'homme lui dit encore: - « Tu as dit vrai » et il reprit : - « Fais-moi connaître la vertu », et le Prophète lui répondit :
- « La vertu consiste à adorer Dieu, comme si tu Le voyais, car si tu ne Le vois pas, certes, Lui te voit ».
L'homme lui dit encore : - « Fais-moi connaître l'Heure - du Jugement Dernier - », et le Prophéte lui répondit :
- « Sur l'heure du jugement, l'interrogé n'est pas plus savant que celui qui le questionne ».
Là-dessus, l`homme lui dit: - « Mais fais m'en connaître les signes précurseurs », et le Prophéte lui répondit:
- « Ce sera lorsque la servante engendrera sa maîtresse, lorsque tu verras les va-nu-pieds, ceux qui vont nus, les miséreux, les pâtres se faire élever des constructions de plus en plus hautes ».
Là-dessus, l'homme partit. Je demeurai là longtemps, puis le Prophéte dit :
- « Ô Omar, sais-tu qui m'a interrogé ? ».
- « Non », répondis-je ! - « Allâh et son Envoyé, en cette matiére, sont plus savants ».
« Cet homme-là était l'Archange Gabriel. Il vient de la sorte à vous pour vous enseigner votre religion ».
[ Rapporté par Mouslim ]
عن
عمر رضي الله عنه أيضا ، قال/ بينما نحن جلوس عـند رسـول الله صلى الله عليه وسلم ذات يوم اذ طلع علينا رجل شديد بياض الثياب ، شديد سواد الشعر لا يرى عليه أثـر السفر ولا يعـرفه منا احـد. حتى جـلـس إلى النبي صلي الله عليه وسلم فـأسند ركبـتيه إلى ركبتـيه ووضع كفيه على فخذيه، وقـال/ " يا محمد أخبرني عن الإسلام ".
فقـال رسـول الله صـلى الله عـليه وسـلـم /(الإسـلام أن تـشـهـد أن لا إلـه إلا الله وأن محـمـد رسـول الله وتـقـيـم الصلاة وتـؤتي الـزكاة وتـصوم رمضان وتـحـج البيت إن اسـتـطـعت اليه سبيلا).
قال : صدقت.
فعجبنا له ، يسأله ويصدقه ؟
قال : فأخبرني عن الإيمان .
قال : أن تؤمن بالله وملائكته وكتبه ورسله واليوم الاخر وتؤمن بالقدر خيره وشره .
قال : صدقت .
قال : فأخبرني عن الإحسان .
قال : ان تعبد الله كأنك تراه ، فإن لم تكن تراه فإنه يراك .
قال : فأخبرني عن الساعة .
قال : "ما المسؤول عنها بأعلم من السائل "
قال : فأخبرني عن أماراتها .
قال : " أن تلد الأم ربتها ، وان ترى الحفاة العراة العالة رعاء الشاء يتطاولون في البنيان"
ثم انطلق ، فلبثت مليا ،ثم قال :" يا عمر أتدري من السائل ؟"
قلت : "الله ورسوله أعلم ".
قال : فإنه جبريل ، اتاكم يعلمكم دينكم "رواه مسل
مفقـال رسـول الله صـلى الله عـليه وسـلـم /(الإسـلام أن تـشـهـد أن لا إلـه إلا الله وأن محـمـد رسـول الله وتـقـيـم الصلاة وتـؤتي الـزكاة وتـصوم رمضان وتـحـج البيت إن اسـتـطـعت اليه سبيلا).
قال : صدقت.
فعجبنا له ، يسأله ويصدقه ؟
قال : فأخبرني عن الإيمان .
قال : أن تؤمن بالله وملائكته وكتبه ورسله واليوم الاخر وتؤمن بالقدر خيره وشره .
قال : صدقت .
قال : فأخبرني عن الإحسان .
قال : ان تعبد الله كأنك تراه ، فإن لم تكن تراه فإنه يراك .
قال : فأخبرني عن الساعة .
قال : "ما المسؤول عنها بأعلم من السائل "
قال : فأخبرني عن أماراتها .
قال : " أن تلد الأم ربتها ، وان ترى الحفاة العراة العالة رعاء الشاء يتطاولون في البنيان"
ثم انطلق ، فلبثت مليا ،ثم قال :" يا عمر أتدري من السائل ؟"
قلت : "الله ورسوله أعلم ".
قال : فإنه جبريل ، اتاكم يعلمكم دينكم "رواه مسل
wanalkaalahiba- Allah Akbar
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LES CINQ PILIERS DE L'ISLAM
Aboû Abd er-Rah'mân, Abd Allâh Ibn Omar, Ibn el-Khattab, que Dieu soit satisfait d'eux a dit :
J'ai entendu l`Envoyé de Dieu que le salut soit sur lui, dire :
« L'lslâm est bâti sur cinq piliers :
1 - Le témoignage qu'il n'est nulle divinité digne d'adoration sauf Allâh et que Mohammad est Son Envoyé.
2 - L'accomplissement de la prière rituelle.
3 - L'acquittement de la zekât (impôt rituel).
4 - Le pèlerinage à la Maison d'Allâh.
5 - Le Jeûne du mois de Ramadhân ».
[ Rapporté par Boukhari et Mouslim ]
[/b][/center]
عن أبي عبد الرحمن عبد الله بن عمر بن الخطاب رضي الله عنهما قال سمعت رسول الله صلى الله عليه وسلم يقول: "بني الإسلام على خمس: شهادة أن لا إله إلا الله وأنّ محمدا رسول الله، وإقام الصلاة، وإيتاء الزّكاة، وحجّ البيت، وصوم رمضان" رواه البخاريّ ومسلم.
J'ai entendu l`Envoyé de Dieu que le salut soit sur lui, dire :
« L'lslâm est bâti sur cinq piliers :
1 - Le témoignage qu'il n'est nulle divinité digne d'adoration sauf Allâh et que Mohammad est Son Envoyé.
2 - L'accomplissement de la prière rituelle.
3 - L'acquittement de la zekât (impôt rituel).
4 - Le pèlerinage à la Maison d'Allâh.
5 - Le Jeûne du mois de Ramadhân ».
[ Rapporté par Boukhari et Mouslim ]
[/b][/center]
عن أبي عبد الرحمن عبد الله بن عمر بن الخطاب رضي الله عنهما قال سمعت رسول الله صلى الله عليه وسلم يقول: "بني الإسلام على خمس: شهادة أن لا إله إلا الله وأنّ محمدا رسول الله، وإقام الصلاة، وإيتاء الزّكاة، وحجّ البيت، وصوم رمضان" رواه البخاريّ ومسلم.
wanalkaalahiba- Allah Akbar
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LA PHASE DE LA CONCEPTION DE L'HOMME ET DE SON DENOUEMENT
Aboû Abd-er-Rahmân Abd-Allâh ibn Massoûd que dieu soit satisfait de lui a dit :
L'Envoyé de Dieu que le salut soit sur lui , le Trés véridique, le Trés digne de foi, nous a raconté ce qui suit :
« Certes, chacun de vous, lorsqu'il est créé dans le sein de sa mère est d'abord pendant quarante jours une gouttelette, puis devient du sang coagulé pendant une semblable durée de temps, puis enfin durant un même laps de temps, devient comme une bouchée de chair, là-dessus, l'ange lui est envoyé, qui insuffle l'âme, et il est ordonné à celui-ci d'accomplir quatre commandements, à savoir d'inscrire: les moyens de vivre (du nouvel être), le terme de son existence, ses actions, enfin, son infortune, ou son bonheur futur.
Par Allâh, en dehors de Qui il n'est pas d`autre Divinité, certes, chacun de vous aurait beau œuvrer comme l'ont fait ceux destinés au Paradis, en sorte qu'il s'en approcherait à la distance d'une coudée, alors ce qui a été écrit pour lui prévaudrait, et donc il accomplirait (quand même) les actions des damnés, et il entrerait en Enfer. Et certes, chacun de vous aurait beau œuvrer comme les damnés, au point de s'approcher de l'Enfer à la distance d'une coudée, alors ce qui a été écrit pour lui prévaudrait, en sorte qu'il accomplirait les actions des élus et qu'il entrerait (quand même) au Paradis»
[ Rapporté par Boukhari et Mouslim
عن أبي عبد الرحمن عبد الله بن مسعـود رضي الله عنه ، قال : حدثنا رسول الله صلي الله عليه وسلم – وهو الصادق المصدوق - :( إن أحـدكم يجمع خلقه في بطن أمه أربعين يوما نطفه ، ثم يكون علقة مثل ذلك ، ثم يكون مـضغـة مثل ذلك ، ثم يرسل إليه الملك ، فينفخ فيه الروح ، ويـؤمر بأربع كلمات : بكتب رزقه ، واجله ، وعمله ، وشقي أم سعيد ؛ فوالله الـذي لا إلــه غـيره إن أحــدكم ليعـمل بعمل أهل الجنه حتى ما يكون بينه وبينها إلا ذراع فيسبق عليه الكتاب فيعـمل بعـمل أهــل النار فـيـدخـلها . وإن أحدكم ليعمل بعمل أهل النار حتي ما يكون بينه وبينها إلا ذراع فــيسـبـق عليه الكتاب فيعمل بعمل أهل الجنة فيدخلها ) رواه البخاري ومسلم
L'Envoyé de Dieu que le salut soit sur lui , le Trés véridique, le Trés digne de foi, nous a raconté ce qui suit :
« Certes, chacun de vous, lorsqu'il est créé dans le sein de sa mère est d'abord pendant quarante jours une gouttelette, puis devient du sang coagulé pendant une semblable durée de temps, puis enfin durant un même laps de temps, devient comme une bouchée de chair, là-dessus, l'ange lui est envoyé, qui insuffle l'âme, et il est ordonné à celui-ci d'accomplir quatre commandements, à savoir d'inscrire: les moyens de vivre (du nouvel être), le terme de son existence, ses actions, enfin, son infortune, ou son bonheur futur.
Par Allâh, en dehors de Qui il n'est pas d`autre Divinité, certes, chacun de vous aurait beau œuvrer comme l'ont fait ceux destinés au Paradis, en sorte qu'il s'en approcherait à la distance d'une coudée, alors ce qui a été écrit pour lui prévaudrait, et donc il accomplirait (quand même) les actions des damnés, et il entrerait en Enfer. Et certes, chacun de vous aurait beau œuvrer comme les damnés, au point de s'approcher de l'Enfer à la distance d'une coudée, alors ce qui a été écrit pour lui prévaudrait, en sorte qu'il accomplirait les actions des élus et qu'il entrerait (quand même) au Paradis»
[ Rapporté par Boukhari et Mouslim
عن أبي عبد الرحمن عبد الله بن مسعـود رضي الله عنه ، قال : حدثنا رسول الله صلي الله عليه وسلم – وهو الصادق المصدوق - :( إن أحـدكم يجمع خلقه في بطن أمه أربعين يوما نطفه ، ثم يكون علقة مثل ذلك ، ثم يكون مـضغـة مثل ذلك ، ثم يرسل إليه الملك ، فينفخ فيه الروح ، ويـؤمر بأربع كلمات : بكتب رزقه ، واجله ، وعمله ، وشقي أم سعيد ؛ فوالله الـذي لا إلــه غـيره إن أحــدكم ليعـمل بعمل أهل الجنه حتى ما يكون بينه وبينها إلا ذراع فيسبق عليه الكتاب فيعـمل بعـمل أهــل النار فـيـدخـلها . وإن أحدكم ليعمل بعمل أهل النار حتي ما يكون بينه وبينها إلا ذراع فــيسـبـق عليه الكتاب فيعمل بعمل أهل الجنة فيدخلها ) رواه البخاري ومسلم
wanalkaalahiba- Allah Akbar
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Re: PAROLE DE L'ENVOYE D'ALLAH ALEYHI ASSALET WAASSALEM
salam alaikum mes frères et soeurs
puisse ALLAH nous accorder une pieuse descendance amin !!!!!
Comment le prophète mohammed (paix et bénédiction sur lui) traitait-il les enfants
Rapporté par Oumm Qais bint Mihsin :
J’amenai mon jeune fils, qui n’avait pas encore commencé à manger de nourriture solide, au Messager d’Allah qui le prit sur ses genoux. Mon fils urina sur le vêtement du Prophète ; alors il demanda qu’on lui apporte de l’eau, qu’il versa sur la partie de son vêtement qui était souillée ; il ne prit pas la peine de laver le vêtement en entier. (Sahih Boukhari, vol.1, livre 4, no. 223)
Rapporté par Abou Qatada al-Ansari :
Le Messager d’Allah priait en tenant dans ses bras Oumama, fille de Zainab (sa propre fille à lui) et de ‘As bin Rabi’a bin ‘Abdoushams. Lorsqu’il se prosternait, il la déposait par terre et lorsqu’il se relevait, il la reprenait sur lui. (Sahih Boukhari, vol.1, livre 9, no.495)
Rapporté par Anas bin Malik :
Le Prophète a dit : « Parfois, je commence une prière avec l’intention de la prolonger, mais lorsque j’entends les pleurs d’un enfant, je l’écourte car je sais que les pleurs de cet enfant troublent sa mère. » (Sahih Boukhari, vol.1, livre 11, no.677)
Rapporté par Anas bin Malik :
Nous accompagnâmes le Messager d’Allah chez le forgeron Abou Saif, qui était le mari de la nourrice d’Ibrahim (le fils du Prophète). Le Messager d’Allah prit Ibrahim dans ses bras, l’embrassa et huma son odeur. Un peu plus tard, nous entrâmes dans la maison d’Abou Saif ; à ce moment, Ibrahim vivait ses dernières minutes. Les yeux du Messager d’Allah s’emplirent de larmes. ‘Abdourrahman bin ‘Auf dit : « Ô Messager d’Allah ! Même toi tu pleures! » Ce dernier répondit : « Ô ibn ‘Auf! C’est par pitié! » Puis il pleura encore plus et dit : « Les yeux répandent des larmes et le cœur est rempli de chagrin. Mais nous ne dirons rien qui ne plaise à notre Seigneur. Ô Ibrahim! En vérité, nous sommes très chagrinés par ton départ! » (Sahih Boukhari, vol.2, livre 23, no.390)
Rapporté par Abou Hourayra ad-Daousi :
Un jour, le Prophète sortit et je l’accompagnai. Il ne me parla guère et je ne lui parlai point non plus jusqu’à ce qu’il atteigne le marché de Bani Qainouqa; il s’assit alors dans la cour de la maison de Fatima et demanda des nouvelles de son petit-fils, al-Hassan. Fatima, cependant, garda l’enfant à l’intérieur pendant quelque temps. Je pensai que peut-être elle lui changeait ses vêtements ou lui donnait un bain. Enfin, l’enfant sortit de la maison en courant et le Prophète l’étreignit et l’embrassa, puis il dit : « Ô Allah! Aime-le et aime quiconque l’aimera. » (Sahih Boukhari, vol.3, livre 34, no.333)
Rapporté par Sahl bin Sad :
Un verre (rempli d’eau ou de lait) fut apporté au Messager d’Allah qui en but, tandis qu’à sa droite était assis un garçon qui se trouvait être le plus jeune parmi tous ceux qui étaient présents. De l’autre côté, à sa gauche, se trouvaient des gens âgés. Le Prophète demanda à l’enfant : « Ô jeune homme! Me permets-tu de donner le restant du breuvage aux personnes âgées d’abord? » Le garçon répondit : « Ô Messager d’Allah! Je ne donnerai la priorité à personne sur moi pour ce qui est de boire le restant d’un breuvage que tu as entamé. » Alors le Prophète le lui donna. (Sahih Boukhari, vol.3, livre 40, no.541)
Rapporté par al-Bara :
J’ai vu le Prophète porter al-Hassan sur son épaule en disant : « Ô Allah! Je l’aime, alors je Te prie de l’aimer aussi. » (Sahih Boukhari, vol.5, livre 57, no.92)
Rapporté par Asma :
Elle rapporta qu’elle conçut ‘Abdoullah bin az-Zoubair. Elle ajouta : « J’émigrai à Médine alors que ma grossesse tirait à sa fin. En chemin, je m’arrêtai à Qouba, où je donnai naissance à mon fils. Puis je l’amenai au Prophète et je le mis sur ses genoux. Le Prophète demanda qu’on lui apporte une datte, la mâcha et mit un peu de son jus dans la bouche de l’enfant. Ainsi, la première chose qui entra dans l’estomac du nourrisson fut la salive du Messager d’Allah . Ensuite, ce dernier frotta le palais du bébé avec une datte et invoqua la bénédiction d’Allah sur lui. Il s’agissait du premier enfant né parmi les émigrants de Médine. (Sahih Boukhari, vol.5, livre 58, no.248)
Rapporté par ‘Omar bin Abi Salama :
J’étais un enfant laissé à la garde du Messager d’Allah et ma main avait tendance à se promener dans les plats lorsque nous mangions. Alors le Prophète me dit : « Ô jeune homme! Mentionne le nom d’Allah, mange avec ta main droite et mange ce qui, du plat, se trouve le plus près de toi. » À partir de ce moment, j’appliquai sans faute ces règles chaque fois que je mangeai. (Sahih Boukhari, vol.7, livre 65, no.288)
Rapporté par Abou Moussa :
Ma femme accoucha d’un garçon, que j’amenai au Prophète . Il le nomma Ibrahim, fit le Tahnik pour lui avec une datte, invoqua la bénédiction d’Allah sur lui et me le redonna. (Le narrateur ajoute : il s’agissait du fils aîné d’Abou Moussa.) (Sahih Boukhari, vol.7, livre 66, no.376)
Rapporté par Anas bin Malik :
Abou Talha avait un enfant qui était malade. Un jour, tandis qu’il était sorti, l’enfant rendit l’âme. Lorsqu’il revint à la maison, il demanda : « Comment va mon fils? » Oumm Salaym (sa femme) lui répondit : « Il est plus calme qu’il ne l’a jamais été. » Puis elle lui servit à souper, il mangea et alla se coucher avec elle. Lorsqu’il eut terminé, elle lui dit : « Va enterrer l’enfant, car il est mort. » Le lendemain matin, Abou Talha alla voir le Messager et lui raconta ce qui s’était passé. Ce dernier lui demanda : « As-tu eu des rapports avec ta femme la nuit dernière? » Abou Talha lui répondit par l’affirmative. Alors le Prophète dit : « Ô Allah! Accorde-leur Ta bénédiction en ce qui a trait à cette nuit qu’ils ont passée ensemble! » Oumm Salaym devint enceinte et accoucha d’un autre garçon. Abou Talha me demanda de prendre soin du bébé jusqu’à ce qu’il soit amené au Prophète . Puis il l’amena voir ce dernier et Oumm Soulaym envoya quelques dattes avec l’enfant. Le Prophète prit l’enfant sur ses genoux et demanda s’ils avaient apporté quelque chose avec lui. On lui répondit : « Oui, quelques dattes. » Il en prit une, la mâcha, en sortit un tout petit morceau de sa bouche et le mit dans la bouche de l’enfant, fit le Tahnik avec et le nomma Abdoullah. (Sahih Boukhari, vol.7, livre 66, no.379)
Rapporté par Abou Hourayra :
Le Messager d’Allah embrassa al-Hassan bin ‘Ali tandis que al-Aqra’ bin Habis at-Tamim était assis près de lui. Al-Aqra’ dit : « J’ai dix enfants et je n’ai jamais embrassé aucun d’eux. » Le Messager d’Allah lui jeta un coup d’œil et lui dit : « Quiconque n’est pas bienveillant envers les autres ne sera pas traité avec bienveillance. » (Sahih Boukhari, vol.8, livre 73, no.26)
Rapporté par ‘Aisha :
Un bédouin vint voir le Prophète et lui dit : « Vous [i.e. votre peuple] embrassez les garçons ?! Nous ne les embrassons jamais ! » Le Prophète lui répondit : « Je ne peux remettre la miséricorde dans votre cœur après qu’Allah l’en ait retiré. » (Sahih Boukhari, vol.8, livre 73, no.27)
Rapporté par Anas :
J’ai été au service du Prophète pendant dix ans et il ne m’a jamais dit « ouf » (i.e. un mot ou un soupir exprimant l’impatience), pas plus qu’il ne m’a fait de reproches en me disant : « Pourquoi as-tu fait cela? » ou « Pourquoi n’as-tu pas fait cela? ». (Sahih Boukhari, vol.8, livre73, no.64)
Rapporté par Sahl :
Lorsque al-Moundhir bin Abou Ousayd naquit, il fut amené au Prophète , qui le mit sur ses genoux. Mais comme ce dernier avait les mains occupées à autre chose, Abou Ousayd demanda à quelqu’un de prendre son fils des genoux du Prophète . Lorsque ce dernier termina de faire ce à quoi il était occupé, il demanda : « Où est l’enfant? » Abou Ousayd répondit : « Nous l’avons ramené à la maison. » Le Prophète demanda : « Quel est son nom? » Abou Ousayd dit : « Son nom est (untel). » Le Prophète répondit : « Non : son nom est al-Moundhir. » Alors il fut nommé al-Moundhir à partir de ce jour. (Sahih Boukhari, vol.8, livre 73, no.211)
Rapporté par Anas :
Le Prophète était le meilleur des hommes en terme de caractère. J’avais un frère qui s’appelait Abou ‘Omar et qui, je crois, venait tout juste d’être sevré. Chaque fois qu’on l’amenait au Prophète , ce dernier disait : « Ô Abou ‘Omar ! Qu’a fait le Noughayr (rossignol) ? » Il s’agissait d’un rossignol avec lequel il avait l’habitude de jouer. Parfois, l’heure de la prière arrivait alors que le Prophète se trouvait chez nous. Il ordonnait alors que le tapis sous ses pieds soit balayé et aspergé d’eau, puis il se levait pour prier ; nous nous alignions derrière lui et il menait la prière. (Sahih Boukhari, vol.8, livre 73, no.222)
Rapporté par Sahl bin Sad :
Le nom qui était le plus cher à ‘Ali était Abou Tourab et il aimait qu’on l’appelle par ce nom, car le Prophète avait été le premier à le nommer ainsi. Un jour, ‘Ali se fâcha avec sa femme (Fatima); il sortit de sa maison et alla dormir près d’un mur dans la mosquée. Le Prophète vint le chercher et quelqu’un lui dit : « Il est là, près du mur. » Le Prophète s’approcha de lui et vit que son dos était recouvert de poussière. Il se pencha et, en époussetant son dos, lui dit : « Lève-toi, ô Abou Tourab! » (Sahih Boukhari, vol.8, livre 73, no.223)
Rapporté par Anas bin Malik :
Il rapporte qu’il passa près d’un groupe de garçons et les salua. Puis il dit : « Le Prophète avait l’habitude de le faire. » (Sahih Boukhari, vol.8, livre 74, no.264)
Rapporté par ‘Aisha :
Les gens avaient l’habitude d’amener leurs garçons au Prophète et ce dernier invoquait la bénédiction d’Allah sur eux. Une fois, un nourrisson lui fut amené et il urina sur ses vêtements. Il demanda qu’on lui apporte de l’eau, en aspergea l’endroit qui était souillé, sans prendre la peine de laver son vêtement au complet. (Sahih Boukhari, vol.8, livre 75, no.366)
Rapporté par ‘Abdoul ‘Aziz :
Anas dit : « Lorsque le Messager d’Allah arriva à Médine, Abou Talha prit ma main et m’emmena voir ce dernier. Il lui dit : « Ô Messager d’Allah ! Anas est un garçon intelligent; prends-le à ton service. » Anas ajouta : « Alors je demeurai au service du Prophète , lorsqu’il était chez lui comme lorsqu’il était en voyage. Par Allah, il ne m’a jamais dit, pour une chose que j’avais faite : « Pourquoi as-tu fait cela? » ou pour une chose que je n’avais pas faite : « Pourquoi ne l’as-tu pas faite? ». (Sahih Boukhari, vol.9, livre 83, no.46)
Auteur: Abdoulaziz S. Al-Shoumar icsfp.com
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puisse ALLAH nous accorder une pieuse descendance amin !!!!!
Comment le prophète mohammed (paix et bénédiction sur lui) traitait-il les enfants
Rapporté par Oumm Qais bint Mihsin :
J’amenai mon jeune fils, qui n’avait pas encore commencé à manger de nourriture solide, au Messager d’Allah qui le prit sur ses genoux. Mon fils urina sur le vêtement du Prophète ; alors il demanda qu’on lui apporte de l’eau, qu’il versa sur la partie de son vêtement qui était souillée ; il ne prit pas la peine de laver le vêtement en entier. (Sahih Boukhari, vol.1, livre 4, no. 223)
Rapporté par Abou Qatada al-Ansari :
Le Messager d’Allah priait en tenant dans ses bras Oumama, fille de Zainab (sa propre fille à lui) et de ‘As bin Rabi’a bin ‘Abdoushams. Lorsqu’il se prosternait, il la déposait par terre et lorsqu’il se relevait, il la reprenait sur lui. (Sahih Boukhari, vol.1, livre 9, no.495)
Rapporté par Anas bin Malik :
Le Prophète a dit : « Parfois, je commence une prière avec l’intention de la prolonger, mais lorsque j’entends les pleurs d’un enfant, je l’écourte car je sais que les pleurs de cet enfant troublent sa mère. » (Sahih Boukhari, vol.1, livre 11, no.677)
Rapporté par Anas bin Malik :
Nous accompagnâmes le Messager d’Allah chez le forgeron Abou Saif, qui était le mari de la nourrice d’Ibrahim (le fils du Prophète). Le Messager d’Allah prit Ibrahim dans ses bras, l’embrassa et huma son odeur. Un peu plus tard, nous entrâmes dans la maison d’Abou Saif ; à ce moment, Ibrahim vivait ses dernières minutes. Les yeux du Messager d’Allah s’emplirent de larmes. ‘Abdourrahman bin ‘Auf dit : « Ô Messager d’Allah ! Même toi tu pleures! » Ce dernier répondit : « Ô ibn ‘Auf! C’est par pitié! » Puis il pleura encore plus et dit : « Les yeux répandent des larmes et le cœur est rempli de chagrin. Mais nous ne dirons rien qui ne plaise à notre Seigneur. Ô Ibrahim! En vérité, nous sommes très chagrinés par ton départ! » (Sahih Boukhari, vol.2, livre 23, no.390)
Rapporté par Abou Hourayra ad-Daousi :
Un jour, le Prophète sortit et je l’accompagnai. Il ne me parla guère et je ne lui parlai point non plus jusqu’à ce qu’il atteigne le marché de Bani Qainouqa; il s’assit alors dans la cour de la maison de Fatima et demanda des nouvelles de son petit-fils, al-Hassan. Fatima, cependant, garda l’enfant à l’intérieur pendant quelque temps. Je pensai que peut-être elle lui changeait ses vêtements ou lui donnait un bain. Enfin, l’enfant sortit de la maison en courant et le Prophète l’étreignit et l’embrassa, puis il dit : « Ô Allah! Aime-le et aime quiconque l’aimera. » (Sahih Boukhari, vol.3, livre 34, no.333)
Rapporté par Sahl bin Sad :
Un verre (rempli d’eau ou de lait) fut apporté au Messager d’Allah qui en but, tandis qu’à sa droite était assis un garçon qui se trouvait être le plus jeune parmi tous ceux qui étaient présents. De l’autre côté, à sa gauche, se trouvaient des gens âgés. Le Prophète demanda à l’enfant : « Ô jeune homme! Me permets-tu de donner le restant du breuvage aux personnes âgées d’abord? » Le garçon répondit : « Ô Messager d’Allah! Je ne donnerai la priorité à personne sur moi pour ce qui est de boire le restant d’un breuvage que tu as entamé. » Alors le Prophète le lui donna. (Sahih Boukhari, vol.3, livre 40, no.541)
Rapporté par al-Bara :
J’ai vu le Prophète porter al-Hassan sur son épaule en disant : « Ô Allah! Je l’aime, alors je Te prie de l’aimer aussi. » (Sahih Boukhari, vol.5, livre 57, no.92)
Rapporté par Asma :
Elle rapporta qu’elle conçut ‘Abdoullah bin az-Zoubair. Elle ajouta : « J’émigrai à Médine alors que ma grossesse tirait à sa fin. En chemin, je m’arrêtai à Qouba, où je donnai naissance à mon fils. Puis je l’amenai au Prophète et je le mis sur ses genoux. Le Prophète demanda qu’on lui apporte une datte, la mâcha et mit un peu de son jus dans la bouche de l’enfant. Ainsi, la première chose qui entra dans l’estomac du nourrisson fut la salive du Messager d’Allah . Ensuite, ce dernier frotta le palais du bébé avec une datte et invoqua la bénédiction d’Allah sur lui. Il s’agissait du premier enfant né parmi les émigrants de Médine. (Sahih Boukhari, vol.5, livre 58, no.248)
Rapporté par ‘Omar bin Abi Salama :
J’étais un enfant laissé à la garde du Messager d’Allah et ma main avait tendance à se promener dans les plats lorsque nous mangions. Alors le Prophète me dit : « Ô jeune homme! Mentionne le nom d’Allah, mange avec ta main droite et mange ce qui, du plat, se trouve le plus près de toi. » À partir de ce moment, j’appliquai sans faute ces règles chaque fois que je mangeai. (Sahih Boukhari, vol.7, livre 65, no.288)
Rapporté par Abou Moussa :
Ma femme accoucha d’un garçon, que j’amenai au Prophète . Il le nomma Ibrahim, fit le Tahnik pour lui avec une datte, invoqua la bénédiction d’Allah sur lui et me le redonna. (Le narrateur ajoute : il s’agissait du fils aîné d’Abou Moussa.) (Sahih Boukhari, vol.7, livre 66, no.376)
Rapporté par Anas bin Malik :
Abou Talha avait un enfant qui était malade. Un jour, tandis qu’il était sorti, l’enfant rendit l’âme. Lorsqu’il revint à la maison, il demanda : « Comment va mon fils? » Oumm Salaym (sa femme) lui répondit : « Il est plus calme qu’il ne l’a jamais été. » Puis elle lui servit à souper, il mangea et alla se coucher avec elle. Lorsqu’il eut terminé, elle lui dit : « Va enterrer l’enfant, car il est mort. » Le lendemain matin, Abou Talha alla voir le Messager et lui raconta ce qui s’était passé. Ce dernier lui demanda : « As-tu eu des rapports avec ta femme la nuit dernière? » Abou Talha lui répondit par l’affirmative. Alors le Prophète dit : « Ô Allah! Accorde-leur Ta bénédiction en ce qui a trait à cette nuit qu’ils ont passée ensemble! » Oumm Salaym devint enceinte et accoucha d’un autre garçon. Abou Talha me demanda de prendre soin du bébé jusqu’à ce qu’il soit amené au Prophète . Puis il l’amena voir ce dernier et Oumm Soulaym envoya quelques dattes avec l’enfant. Le Prophète prit l’enfant sur ses genoux et demanda s’ils avaient apporté quelque chose avec lui. On lui répondit : « Oui, quelques dattes. » Il en prit une, la mâcha, en sortit un tout petit morceau de sa bouche et le mit dans la bouche de l’enfant, fit le Tahnik avec et le nomma Abdoullah. (Sahih Boukhari, vol.7, livre 66, no.379)
Rapporté par Abou Hourayra :
Le Messager d’Allah embrassa al-Hassan bin ‘Ali tandis que al-Aqra’ bin Habis at-Tamim était assis près de lui. Al-Aqra’ dit : « J’ai dix enfants et je n’ai jamais embrassé aucun d’eux. » Le Messager d’Allah lui jeta un coup d’œil et lui dit : « Quiconque n’est pas bienveillant envers les autres ne sera pas traité avec bienveillance. » (Sahih Boukhari, vol.8, livre 73, no.26)
Rapporté par ‘Aisha :
Un bédouin vint voir le Prophète et lui dit : « Vous [i.e. votre peuple] embrassez les garçons ?! Nous ne les embrassons jamais ! » Le Prophète lui répondit : « Je ne peux remettre la miséricorde dans votre cœur après qu’Allah l’en ait retiré. » (Sahih Boukhari, vol.8, livre 73, no.27)
Rapporté par Anas :
J’ai été au service du Prophète pendant dix ans et il ne m’a jamais dit « ouf » (i.e. un mot ou un soupir exprimant l’impatience), pas plus qu’il ne m’a fait de reproches en me disant : « Pourquoi as-tu fait cela? » ou « Pourquoi n’as-tu pas fait cela? ». (Sahih Boukhari, vol.8, livre73, no.64)
Rapporté par Sahl :
Lorsque al-Moundhir bin Abou Ousayd naquit, il fut amené au Prophète , qui le mit sur ses genoux. Mais comme ce dernier avait les mains occupées à autre chose, Abou Ousayd demanda à quelqu’un de prendre son fils des genoux du Prophète . Lorsque ce dernier termina de faire ce à quoi il était occupé, il demanda : « Où est l’enfant? » Abou Ousayd répondit : « Nous l’avons ramené à la maison. » Le Prophète demanda : « Quel est son nom? » Abou Ousayd dit : « Son nom est (untel). » Le Prophète répondit : « Non : son nom est al-Moundhir. » Alors il fut nommé al-Moundhir à partir de ce jour. (Sahih Boukhari, vol.8, livre 73, no.211)
Rapporté par Anas :
Le Prophète était le meilleur des hommes en terme de caractère. J’avais un frère qui s’appelait Abou ‘Omar et qui, je crois, venait tout juste d’être sevré. Chaque fois qu’on l’amenait au Prophète , ce dernier disait : « Ô Abou ‘Omar ! Qu’a fait le Noughayr (rossignol) ? » Il s’agissait d’un rossignol avec lequel il avait l’habitude de jouer. Parfois, l’heure de la prière arrivait alors que le Prophète se trouvait chez nous. Il ordonnait alors que le tapis sous ses pieds soit balayé et aspergé d’eau, puis il se levait pour prier ; nous nous alignions derrière lui et il menait la prière. (Sahih Boukhari, vol.8, livre 73, no.222)
Rapporté par Sahl bin Sad :
Le nom qui était le plus cher à ‘Ali était Abou Tourab et il aimait qu’on l’appelle par ce nom, car le Prophète avait été le premier à le nommer ainsi. Un jour, ‘Ali se fâcha avec sa femme (Fatima); il sortit de sa maison et alla dormir près d’un mur dans la mosquée. Le Prophète vint le chercher et quelqu’un lui dit : « Il est là, près du mur. » Le Prophète s’approcha de lui et vit que son dos était recouvert de poussière. Il se pencha et, en époussetant son dos, lui dit : « Lève-toi, ô Abou Tourab! » (Sahih Boukhari, vol.8, livre 73, no.223)
Rapporté par Anas bin Malik :
Il rapporte qu’il passa près d’un groupe de garçons et les salua. Puis il dit : « Le Prophète avait l’habitude de le faire. » (Sahih Boukhari, vol.8, livre 74, no.264)
Rapporté par ‘Aisha :
Les gens avaient l’habitude d’amener leurs garçons au Prophète et ce dernier invoquait la bénédiction d’Allah sur eux. Une fois, un nourrisson lui fut amené et il urina sur ses vêtements. Il demanda qu’on lui apporte de l’eau, en aspergea l’endroit qui était souillé, sans prendre la peine de laver son vêtement au complet. (Sahih Boukhari, vol.8, livre 75, no.366)
Rapporté par ‘Abdoul ‘Aziz :
Anas dit : « Lorsque le Messager d’Allah arriva à Médine, Abou Talha prit ma main et m’emmena voir ce dernier. Il lui dit : « Ô Messager d’Allah ! Anas est un garçon intelligent; prends-le à ton service. » Anas ajouta : « Alors je demeurai au service du Prophète , lorsqu’il était chez lui comme lorsqu’il était en voyage. Par Allah, il ne m’a jamais dit, pour une chose que j’avais faite : « Pourquoi as-tu fait cela? » ou pour une chose que je n’avais pas faite : « Pourquoi ne l’as-tu pas faite? ». (Sahih Boukhari, vol.9, livre 83, no.46)
Auteur: Abdoulaziz S. Al-Shoumar icsfp.com
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Re: PAROLE DE L'ENVOYE D'ALLAH ALEYHI ASSALET WAASSALEM
Barakallah o fik oukhti Houda, Allahi naourike , Amine
Iman Dine
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Re: PAROLE DE L'ENVOYE D'ALLAH ALEYHI ASSALET WAASSALEM
wa fiki baraka oukhty c'est vrm dommage d'avoir une relation aussi froide! inchaallah kheir!
allahouma ahdina limatouhibou watarda
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wanalkaalahiba- Allah Akbar
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Rejet des actes blâmables et des innovations
La mère des Croyants, Umm 'AbdAllah, Aïsha a rapporté que le Messager de Dieu a dit :
" Celui qui apporte dans notre religion une innovation qui lui est étrangère, on doit rejeter tout ce qu'il dit. " [ Rapporté par Boukhari et Mouslim ].
Dans une autre version de Mouslim :
" Celui qui fait une chose en désaccord avec notre Religion, on doit rejeter tout ce qu'il fait "
عن ام المؤمنين أم عبد الله عـائـشة رضي الله عنها ، قالت : قال رسول الله صلي الله صلى الله عليه وسلم (من أحدث في أمرنا هـذا مـا لـيـس مـنه فهـو رد ). رواه الـبـخـاري ، ومسلم
.
وفي رواية لمسلم : ( مـن عـمـل عـمـلا لـيـس عـلـيه أمـرنا فهـو رد
wanalkaalahiba- Allah Akbar
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:: Aqida :: La Croyance
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